Prisonniers de Quedlinburg qui ont travaillé à Halberstadt

séparation

Voici la liste des prisonniers de Quedlinburg, qui ont travaillé à Halberstadt.

Apparement les prisonniers travaillent pour la Firma Wilhelm Benkenstein à Halberstadt spézialfabrik für Halberstädter Würstchen (encore en fonctionnement aujourd'hui) qui produit des saucisses en conserve.

février 1916

Photo d'un groupe travaillant à la charcuterie en février 1916 communiquée par Pierre BELOT.

Amadieu Paul Joseph, plus d'infos sur lui ici
Badard Henri Joseph Jules, plus d'infos sur lui ici
Benetti Don Jean, plus d'infos sur lui ici
Belot Léon, plus d'infos sur lui ici
Bertrand Michel, plus d'infos sur lui ici
Bonhomme Arsène, plus d'infos sur lui ici
Brazillier Eugène Moïse, plus d'infos sur lui ici
Bruy Claudius Joseph, plus d'infos sur lui ici
Cady Harry, plus d'infos sur lui ici
Carter Samuel, plus d'infos sur lui ici
Chelet Vincent, plus d'infos sur lui ici
Chenneviere Louis Charles, plus d'infos sur lui ici
Crestou Paul, plus d'infos sur lui ici
Lebert Henri, plus d'infos sur lui ici
Lefrancq Henri Oscar Joseph, plus d'infos sur lui ici
Morraglia Ange Louis, signe Louis, plus d'infos sur lui ici
Panicucci Emile Charles, dit Charles, plus d'infos sur lui ici
Perney Jules Auguste Constant, plus d'infos sur lui ici
Ralph Hubert, plus d'infos sur lui ici
Riguelle Constant Joseph, plus d'infos sur lui ici
Romulus Arthur Emilien Victorien, plus d'infos sur lui ici

charcuterie

Photo d'un groupe de travailleur à la charcuterie en février 1916 communiquée par Pierre BELOT.

incendie à Halberstadt



En juin 1916, l'usine est détuite par un incendie.

Un incendie détruit une fabrique allemande de conserves
Copenhague, 19 juin - Selon la Gazette de Kiel, la grande fabrique de conserves Heines, de Halberstadt - un des plus grands établissements de l'Allemagne, actuellement occupée à produire des fournitures pour l'armée, - a été détruite entièrement par un incendie.
Deux millions de livres de viande en boîtes ont été brûlées en, en plus, des quantités considérables de viande fraîche et frigorifiée. Le matériel des machines a été détruit également.
On croit que le sinistre serait dû à la malveillance et une prime de mille marks est offerte a qui fera connaître l'incendiaire.
Extrait de l'Action Française, n°172, 20 juin 1916.